Journée d'étude Primitifs de la photographie. Le calotype en France, 1843-1860.

Les recherches conduites dans le cadre de la préparation de l’exposition "Primitifs de la photographie. Le calotype en France, 1843-1860", par Sylvie Aubenas, directeur du département des Estampes et de la Photographie de la BnF et par Paul-Louis Roubert, maître de conférences à l’université de Paris VIII Vincennes Saint-Denis, qui en ont assuré le commissariat, ont permis de faire la synthèse des travaux abondants réalisés depuis une génération sur le calotype français. Elles sont loin, cependant, d’avoir épuisé un sujet qui mobilise actuellement de nombreux chercheurs et sur lequel la présente journée d’études se propose de revenir, afin de le compléter et de l’enrichir.

10h : INTRODUCTION De l’échelle au balai. Retour sur investissements, par Michel Frizot, directeur de recherches au CNRS

10h 30 : Pause café

Présidence de séance : Michel Frizot

11h : Aux origines des primitifs : histoire d’une valeur photographique par Paul-Louis Roubert

11h 30 : Les sources pour l’histoire du calotype dans les actes notariés par Marc Durand (Archives nationales) et Sylvie Aubenas

12h : Du livre à la photographie : la constitution de la collection Marie-Thérèse et André Jammes par Cécile Nédelec (Ehess)

12h 30 : Discussion 13h : Pause

Présidence de séance : Sylvie Aubenas 14h 30 : Eugène Piot photographe d’architecture : renaissance d’un fonds de calotypes par Jérôme Delatour (Inha)

15h : Des calotypes pour un botaniste : Paul Marès par Lidia Ortiz Maqueda (historienne de la photographie)

15h 30 : Photographies primitives de Jean-Marie Taupenot en Bourgogne et en Languedoc (1848-1851) par Hélène Bocard (Inha)

16h : Charles Marville, du calotype au négatif sur verre : changement de technique ou changement d’esthétique ? par Anne de Mondenard (Mission de la photographie, Ministère de la culture et de la communication)

16h 30 : Discussion

Primitifs de la photographie Le calotype en France, 1843-1860, Journées d’études samedi 8 janvier 2011, Auditorium de l’Institut national d’histoire de l’art (INHA), Galerie Colbert, 2 rue Vivienne, 75002 Paris